El curandero (Paul Vanderstappen)

El curandero (Paul Vanderstappen)

Après avoir vécu deux ans à Santiago, Pablo revient dans sa Belgique natale et décide d’écrire l’histoire de Gloria, une amie décédée au Chili. Il est cependant confronté à un obstacle inconfortable : son incapacité à écrire. Animé par sa volonté de comprendre les émotions qui l’habitent, il franchit la porte du cabinet d’un psy pour tenter d’élucider son blocage. Nous sommes alors amenés à lire des souvenirs et des rêves du protagoniste entrecoupés de nombreux passages introspectifs.

Ayant perdu ses parents très jeune et son frère aîné quelques années plus tard, Pablo n’a pas une histoire banale et son thérapeute l’aide à revisiter ses fantômes et les sentiments qui le hantent sous un autre point de vue.

J’avais attendu plus d’une heure en souhaitant qu’il meure, parce qu’on m’avait dit que son état était critique et que s’il s’en sortait, il serait handicapé à vie. Pour cette raison, j’espérais sa mort, pour lui, pour moi. J’ai vécu l’attente où tout peut basculer dans un sens comme dans l’autre. Puis le soulagement, presque une joie d’apprendre qu’il était mort ! Je brûlais de l’intérieur, presque honteux d’avoir souhaité sa mort. J’étais en enfer, abandonné du ciel et mon avenir semblait plombé une fois de plus !

Pour lire la suite: https://le-carnet-et-les-instants.net/2021/02/15/vanderstappen-el-curandero/

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